Le projet relancé Briqueterie de Ouled Braham à Bordj Bou Arréridj
Le projet relancé Briqueterie de Ouled Braham à Bordj Bou Arréridj]
Une excellente chose pour la région, d'autant plus que celle-ci a longtemps souffert de l'isolement, du chômage'
L'idée de la relance de la briqueterie fait son petit bonhomme de chemin dans la région, où tous les espoirs de la population reposent sur ce projet qui a fait couler beaucoup d'encre. Relevant de la daïra de Ras El Oued, la commune de Ouled Braham est restée longtemps en marge du développement en dépit de ses richesses. Le gisement d'argile, dont la durée d'exploitation est estimée a plus d'un siècle, est capable à lui seul de dissiper le spectre du chômage. La décennie noire y a laissé des stigmates qu'on croyait au départ indélébiles. Du jour au lendemain, la contrée s'est vidée considérablement de sa population au profit d'un exode vers Ras El Oued. Une ville qui était au bord de l'asphyxie de par l'absence quasi totale d'opportunités de travail. La relance de la briqueterie est imminente.
Le projet de réalisation de la briqueterie, pour lequel l'Etat avait mobilisé dans les années 1980 plus de 20 milliards de centimes, est resté, deux décennies durant, en jachère. Faute de moyens financiers, l'entreprise des produits rouges (EPR), propriétaire du projet, qui faisait face à une conjoncture économique difficile, abandonne le hangar à son triste sort bien que raccordé aux réseaux électrique et gazier, pour le proposer à la vente aux enchères.
A l'époque, il ne manquait que les équipements pour amener la mission à bon port. Cependant, une question lancinante se pose : pourquoi le lancement a-t-il pris autant de retard ' Pour certaines personnes bien au fait du dossier, la rude concurrence entre deux investisseurs en serait la cause. Pour d'autres, par contre, le coût très élevé de l'infrastructure aurait repoussé l'échéance de démarrage. Aux dernières nouvelles, on apprend que le problème vient d'être résolu, et que la transaction est revenue à un investisseur de la région. Selon une source sûre, les travaux d'aménagement avancent à une cadence accélérée et la pose des équipements devra intervenir juste après la fin de l'étude des plans.
Cet acquis permettra à la région de sortir de sa léthargie de par les opportunités de travail que ce projet pourrait offrir. Il s'agit, selon notre source, de plus de 70 postes d'emploi. Tous les paramètres semblent favorables à l'essor de cette commune de l'extrême sud-est de la wilaya, puisque en matière de projets, la région s'est taillée la part du lion. La réalisation d'infrastructures routière a été achevée dans sa totalité, avec les possibilités de rallier les wilayas limitrophes de Sétif, M'sila et même celles du Sud.
Une excellente chose pour la région, d'autant plus que celle-ci a longtemps souffert de l'isolement, du chômage'
L'idée de la relance de la briqueterie fait son petit bonhomme de chemin dans la région, où tous les espoirs de la population reposent sur ce projet qui a fait couler beaucoup d'encre. Relevant de la daïra de Ras El Oued, la commune de Ouled Braham est restée longtemps en marge du développement en dépit de ses richesses. Le gisement d'argile, dont la durée d'exploitation est estimée a plus d'un siècle, est capable à lui seul de dissiper le spectre du chômage. La décennie noire y a laissé des stigmates qu'on croyait au départ indélébiles. Du jour au lendemain, la contrée s'est vidée considérablement de sa population au profit d'un exode vers Ras El Oued. Une ville qui était au bord de l'asphyxie de par l'absence quasi totale d'opportunités de travail. La relance de la briqueterie est imminente.
Le projet de réalisation de la briqueterie, pour lequel l'Etat avait mobilisé dans les années 1980 plus de 20 milliards de centimes, est resté, deux décennies durant, en jachère. Faute de moyens financiers, l'entreprise des produits rouges (EPR), propriétaire du projet, qui faisait face à une conjoncture économique difficile, abandonne le hangar à son triste sort bien que raccordé aux réseaux électrique et gazier, pour le proposer à la vente aux enchères.
A l'époque, il ne manquait que les équipements pour amener la mission à bon port. Cependant, une question lancinante se pose : pourquoi le lancement a-t-il pris autant de retard ' Pour certaines personnes bien au fait du dossier, la rude concurrence entre deux investisseurs en serait la cause. Pour d'autres, par contre, le coût très élevé de l'infrastructure aurait repoussé l'échéance de démarrage. Aux dernières nouvelles, on apprend que le problème vient d'être résolu, et que la transaction est revenue à un investisseur de la région. Selon une source sûre, les travaux d'aménagement avancent à une cadence accélérée et la pose des équipements devra intervenir juste après la fin de l'étude des plans.
Cet acquis permettra à la région de sortir de sa léthargie de par les opportunités de travail que ce projet pourrait offrir. Il s'agit, selon notre source, de plus de 70 postes d'emploi. Tous les paramètres semblent favorables à l'essor de cette commune de l'extrême sud-est de la wilaya, puisque en matière de projets, la région s'est taillée la part du lion. La réalisation d'infrastructures routière a été achevée dans sa totalité, avec les possibilités de rallier les wilayas limitrophes de Sétif, M'sila et même celles du Sud.